Les entrepreneurs de la restauration tirent la sonnette d'alarme, avertissant avec des milliers de cadenas dans l'industrie, s'ils n'ouvrent pas leurs magasins immédiatement. Les suspensions constantes de fonctionnement, les restrictions mais aussi les dépenses qui «courent» ont plongé les entrepreneurs de la restauration au désespoir.
La situation du secteur de la restauration est extrêmement difficile et déchirante, car près de la moitié des entreprises de restauration se trouvent dans la zone… du cadenas, car nombre d’entre elles ne pourront peut-être pas rouvrir lorsque le «feu vert» s’allumera ou s’ouvrir ne le sera pas être en mesure de résister aux «fardeaux» économiques insupportables créés par la crise pandémique.
A Kolonaki, Gyzi, Psyrri, les cadenas sont déjà comptés avec de nombreux magasins vides ou avec le signe «loué» pour dominer, tandis que dans la banlieue de l'Attique, à Kifissia, Chalandri, Holargo le tableau est similaire.
Les restaurateurs, malgré les interventions gouvernementales pour faciliter les affaires, telles que les remboursements, les loyers, les transferts fiscaux et divers régimes de subventions, réclament des solutions plus drastiques qui apporteront un soutien réel et efficace à l'industrie. Par exemple, avoir une annulation de dette, avoir une TVA à un chiffre comme dans d'autres pays voisins, avoir des programmes CRSN qui soutiendront la concentration et l'avance remboursable pour devenir non remboursable pour l'industrie, etc.
Les gens demandent l'exploitation immédiate des restaurants, même s'ils doivent être ouverts dans la première phase, ne servant qu'à l'extérieur.
Costas Korellis